Juin 2024 : Je n’ai rien à craindre de son amour.
Si je crois que Jésus est mort pour moi, j’ai de quoi trembler d’émotion devant l’amour dont j’ai été l’objet. Le Jésus qui a fait cela pour moi n’est pas près de me condamner, de me repousser. Je n’ai rien à craindre de lui, et tout à attendre de sa miséricorde, de son indulgence, de sa complicité. Et ce serait le blesser qu’avoir peur de lui.
Père A. Valensin, La joie dans la foi, p. 250