La pensée du mois
- Mars 2021 : Le paradoxe de la mort
Il y a dans la mort un paradoxe. La mort signifie la passivité la plus totale, l’effacement radical, la disparition, et en même temps sa dimension cachée, secrète, indique comment la passivité peut être vécue comme l’acte d’amour le plus grand. Quand on meurt, il ne nous reste plus qu’un seul acte à poser, l’acte qui ouvre le monde à la vie éternelle : celui d’aimer. (…)
Aimer est l’action la plus grande que l’on puisse poser, car elle nous engage au-delà de la plus grande passivité qu’est la mort à consentir à la Vie.
Mgr Michel Aupetit, La mort, méditation pour un chemin de Vie. Novembre 2020
Historique
- Mars 2021 : Le paradoxe de la mort
- Février 2021 – Christ, notre lumière.
- Janvier 2020 – Une année avec saint Joseph
- Décembre 2020 – L’Avent, le temps de l’attente
- Novembre 2020 – Accueillir la mort comme Macrine
- Octobre 2020 – Colloque amoureux
- Septembre 2020 – Vraie dimension de la vie humaine
- Août 2020 – Nature belle et fragile
- Juillet 2020 – Une patrie sans pères ?
- Juin 2019 – Fête du Saint Sacrement