Macrine disait : C'est toi, Seigneur, qui as abrogé pour nous la crainte de la mort. C'est toi qui as fait pour nous, du terme de la vie d'ici-bas, le commencement de la vie véritable. C'est toi qui pour un temps laisses se reposer nos corps par une dormition, et qui les réveilles à nouveau [...] Poursuivre la lecture...